Les vrais spéculateurs intègrent les éléments, 65 actionnaires et 21 traders du holding des Moyes jouent avec la météo, le terrain et toute la valeur ajoutée par l’eau du ciel sur nos contrées un peu sèches. Première OPA sur le nouveau couvert d’Ayer à la Krèhha Bèla, force de constater que la place est trop petite pour l’équipe des Moyes. On achète cette place idéale pour placer quelques hôtels mais pour nous, il faut plus.

On achète un peu de chance, après une nuit pluvieuse le soleil nous guide vers le mayen, ce qui fait monter notre cotation, la chance semble monnayable. La case prison est vite définie, c’est le poulailler de Manu; une carte jocker pour éviter le pire au MoyesNopoly ?
On a profité du soleil jusqu’en fin de journée, la première averse est arrivée pendant le cours de Bastian. Respecter les règles autour du feu, situer ses affaires et sa lampe de nuit, se retrouver sur la place centrale en cas d’alarme, rester secs même quand il se met à pleuvoir. La sauce bolognaise offerte par la Tzoucdana, amenée par Coco et Chloé, nous a donné l’énergie pour une série de jeux, mais c’est la maison blanche, notre « Zürich Paradeplatz » qui accueille toute l’équipe pour les contes et légendes.
Nous attendrons le ciel de demain, le contexte géopolitique et climatologique reste incertain. L’économie déteste l’incertitude mais nous restons prêts à acheter, investir, placer nos pions pour enfin toucher sans rien glander; la promesse des vainqueurs de l’économie de marché se fige dans l’esprit des six équipes qui se disputent cette semaine une intense partie de MoyesNopoly. Et si le prochain coup de dé nous amène le soleil, on prend, on achète, on construit, on taxe. Nous présenterons demain les six équipes qui se disputent le marché de la zau-Zoura, en espérant un plateau de jeu pas trop humide ce mardi. Pour le reste de la semaine pas de souci, il fera beau.






